L’universitaire Abdelaziz Boubakir a rendu l’âme hier, des suites d’une longue maladie. Professeur d’Histoire à l’université d’Alger, traducteur polyglotte entre arabe, français et russe, Abdelaziz Boubakir, « Aziz » pour ses nombreux amis dans les milieux universitaires et ceux de la presse, était particulièrement apprécié pour ses valeurs humaines et pour sa rigueur intellectuelle. Hormis des ouvrages purement universitaires, Boubakir était également l’auteur du livre sur les « Mémoires du président Chadli Bendjedid », d’un livre intitulé « L’Algérie vue par les orientalistes russes » ainsi que d’une traduction du russe de « L’intelligentsia maghrébine » de Vladimir Maximenko. De par sa présence par ses écrits et par la parole lors de nombreux colloques, séminaires et autres rencontres scientifiques, la perte de Abdelaziz Boubakir laissera un vide immense dans les cercles intellectuels et culturels algériens.
N.S
Condoléances
Profondément affecté par la perte de son ami Abdelaziz Boubakir, prématurément ravi à l’affection des siens, Nadjib Stambouli présente à sa famille et à tous les amis communs ses sincères condoléances, priant Dieu d’accueillir le défunt en Son vaste paradis.