Les judokas algériens, Mohamed Yasser Bouamar, Mohamed Sofiane Belrekaâ, Mohamed El Mehdi Lili et Sonia Asselah, ont été éliminés dimanche matin dès leur entrée en lice dans le tournoi international «Grand Slam d’Antalya», abrité par la Turquie du 31 mars au 2 avril.
Bouamar a été reversé dans la poule «A» des moins de 100 kilos, où il a été éliminé au premier tour par le Français Kenny Livèze, tout comme ce fut le cas pour son compatriote Mohamed El Mehdi Lili chez les plus de 100 kilos, sorti dès son premier combat contre le Géorgien Levani Matiashvili.
De son côté, Mohamed Sofiane Belrekaâ, qui a également concouru chez les plus de 100 kilos, a débuté directement au deuxième tour, après avoir été exempté du premier, mais n’a pas fait long feu pour autant, puisque lui aussi a été éliminé dès son premier combat contre le Mongole Tsetsentsengel Odkhuu, qui lui aussi avait été exempté du premier tour. L’Algérie a engagé dix judokas dans ce tournoi : 6 messieurs et 4 dames.
Après cette cascade d’éliminations, les derniers espoirs de réussir un coup d’éclat reposaient sur Sonia Asselah, reversée dans la poule «B» des plus de 78 kilos, où elle a eu la chance d’être exemptée du premier tour.
Mais finalement et à l’instar de ses compatriotes, elle s’est inclinée dès son premier combat contre la Mongole Adiyasuren Amarsaikhan, qui comme elle avait été exemptée du premier tour.
Une élimination précoce donc pour l’ensemble des judokas algériens engagés dans ce tournoi. Les éléments engagés pendant les deux premières journées de compétition ont subi le même sort.