Le Conseil supérieur de la jeunesse a organisé, au Centre de loisirs scientifiques de la ville de Tizi Ouzou, une rencontre de discussions entre jeunes autour de l’élaboration de la feuille de route de cette institution pour la période 2023-2033.
Par Hamid M.
La rencontre, à laquelle le wali de Tizi Ouzou, Djilali Doumi, a pris part, a été dirigée par le représentant du CSJ, Adel Lahbib. Ils étaient près de 70 jeunes à prendre part à cette rencontre sous forme de travaux d’ateliers autour de plusieurs thématiques, notamment «l’organisation et la gestion du CSJ», «l’interactivité CSJ-jeunes», «le rôle des jeunes de la diaspora», «la culture des jeunes et l’implication dans la vie publique à
l’échelle locale et nationale» et «les préoccupations locales prioritaires avec les solutions préconisées».
Pour le wali de Tizi Ouzou, «cette rencontre est un espace de débat entre jeunes de toutes idées portées par le Conseil supérieur de la jeunesse autour de la participation active de cette frange de la société dans les différents domaines, notamment de la société et de l’économie, et c’est ce genre de cadre organisationnel qui est susceptible de contribuer à orienter l’action des pouvoirs publics tant à l’échelle locale qu’au plan national. Un tel cadre permettra ainsi aux jeunes d’exprimer toutes leurs conceptions autour de ces actions de l’Etat menées en leur direction et de constituer un espace
d’échange permanent». De son côté, pour le représentant du CSJ en sa qualité de coach, «ces assises initiées par le CSJ à travers les quatre coins du pays visent à faire participer les jeunes dans l’élaboration de la feuille de route de l’institution pour la période 2023-2033». «Une feuille de route qui s’appuie sur la base locale de la jeunesse jusqu’à
l’échelle de la direction de la même institution et cette rencontre d’aujourd’hui vise à offrir un espace à nos jeunes afin de poser les préoccupations d’intérêt commun à l’échelle locale et nationale et cela se fera par thématiques. L’occasion est ainsi donnée au jeune de contribuer par son point de vue, d’exprimer sa douleur et son espoir pour un avenir qui lui permettra de participer au développement durable et toutes les questions inhérentes à la jeunesse», selon le même responsable.
H. M.