L’équipe nationale de football A’ sera au rendez-vous vendredi soir avec le match comptant pour les quarts de finale face à la redoutable équipe de la Côte d’Ivoire, deuxième du groupe B, dans une opposition qui promet au stade Nelson-Mandela de Baraki.
Par Mahfoud M.
Ce stade flambant neuf sera sans aucun doute plein à craquer lors de cette empoignade, où l’enjeu est grand, puisqu’il s’agit, ni plus ni moins, d’une qualification au dernier carré. Les Verts qui ont jusque-là réussi un sans-faute lors du premier tour en décrochant neuf points sur neuf possibles, se donneront à fond pour battre les Eléphants et continuer l’aventure dans cette compétition. Les poulains de Bougherra savent, néanmoins, que ce ne sera pas facile face à une bonne équipe ivoirienne qui se présentera aussi avec la même détermination et le même objectif. Le sélectionneur des Verts alignera un groupe constitué de joueurs déterminés à aller le plus loin possible dans ce tournoi et faire plaisir au bouillonnant public du stade Nelson-Mandela. Pour cette empoignade, Bougherra pourra compter sur certains joueurs qui reviennent de blessure, à l’image d’Ayoub Abdellaoui, qui s’est remis totalement de la blessure reçue au niveau du pied et qui repris l’entraînement collectif mardi après-midi. En outre, Chouaïb Debbih et Hocine Dehiri, qui ont eu quelques soucis physiques, sont soumis à un travail spécifique sous la houlette du préparateur physique. Conscient que ce genre de match (à élimination directe) demande un tout état d’esprit, le coach de l’EN a prévenu ses joueurs de rester concentrés tout au long des 90 minutes du match et peut-être même au-delà au cas où il y aura un temps supplémentaire à jouer pour se départager. Il souhaite aussi trouver une solution au problème offensif avec ce manque d’efficacité devant, demandant par exemple aux milieux de monter pour apporter le surnombre et tenter de trouver la faille. L’essentiel est que ce match sera disputé de bout en bout et les joueurs doivent être à la hauteur des espoirs placés en eux. M. M.
